Feue la bûche...
A s’y bruler je me suis enflammé
D’une pulsion sous rythme cardiaque
Il y a eu encore trop de mots pour combler mes pensées
j’ai couru et volé trop fort vers une fois qui n’était pas
coutume
D’un conte de princes et d’une nuit qui en valait mille
Où toute l’insomnie alcoolique c’est écroulé sur moi
Et le temps d’un repos du guerrier que je m’imaginais
Je fonds dans le placard en murmurant à ma petite voix
Qu’il n’y aura rien de grave quand le silence paraitra si pesant
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B
K